Numéro | Date | Titre - Sujets |
1 | 10 octobre 1936 |
P. 4 : Luc Dietrich : présentation de l'homme et de son œuvre accompagnant
l'article de L.Dietrich lui-même : Histoire de mes photographies
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2 | 10 novembre 1936 |
P. 7 : rubrique Micromégas parmi les livres, article "Bon a tirer" :
La Sourdine de Marcel Aymé (à propos du livre de M.Aymé : Le Moulin de la Sourdine)
“Ce n'est pas un grand livre, quelques facilités, mais agréable comme un ami”
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3 | 10 décembre 1936 |
P. 6 : rubrique Micromégas parmi les hommes
"Cet inconnu, le Prix Nobel... - O'NEILL L'aventureux
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4 | 10 janvier 1937 |
P. 12 : rubrique Micromégas et l'invitation au voyage :trois articles critiques
d'auteurs : Joseph Kessel (signé Le Liseur impuni), Cocteau (signé Claude Schnerb) et Céline (signé René
Barjavel)
“J'ai lu deux fois Mort-à-Crédit, d'abord d'une traite, puis j'ai refait le parcours par étapes espacées.
Ma troisième lecture dure encore. Elle ne se terminera pas. Ce livre, froissé, est à la portée d'une main qui connait sa place.
Je l'ouvre au hasard, en lis quelques pages. Je n'y trouve pas désespoir ou pessimisme, mais la joie, celle qu'on éprouve
devant la perfection ; à contempler, par exemple, les détails d'une cathédrale que dressèrent des hommes possédés
par la foi, ou la furieuse architecture des montagnes.”
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6 | 10 mars 1937 |
P. 6 : Giono notre ami
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8 | 10 mai 1937 |
P 10 : rubrique Invitation au voyage : Le Prophète dans la Cité
Résumé, commentaires et réflexions à propos du livre d'un jeune architecte-urbaniste de retour des U.S.A. : Le
Corbusier : Quand les cathédrales étaient blanches.
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11 | 10 août 1937 |
P. 3 : accompagnant une interview de Jean de la Varende par Maximilien Vox,
René Barjavel raconte cette rencontre à laquelle il a participé :
« Deux mètres de haut, trois mètres de large... »
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17 | 10 février 1938 |
Pp. 1 et 2 : Quelque part en France,
à propos de la région du Bourbonnais et de ses poètes, connus et moins connus.
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Dans des revues plus spécialisées, il donne son avis sur des thèmes précis sans pouvoir s'y restreindre, mais en profite
au contraire pour rappeler la "philosophie" qui sous-tend toute son œuvre.
- Dans Le Magazine de France, revue créée après la Libération, il présente à l'occasion d'un
numéro spécial (4ème trimestre 1945) sur le cinquantenaire du cinéma sa vision du futur du 7ème art, dans un article qui mêle journalisme et
science-fiction... « Le cinéma dans la lune » (lire cet article)
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- Dans Vérités sur le cinéma français (date non précisée), il profite du même contexte pour faire preuve aussi d'anticipation particulièrement lucide
« Le cinéma français dans 20 ans » (lire cet article).
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- Dans la revue ICARE cahiers de l'aviation, qui réalisait pour son numéro de Noël 1957 un dossier spécial
« L'Anticipation », il répondait ainsi que d'autres écrivains à la question :« Voulez-vous
la lune », par un petit texte disant ses espoirs et ses inquiétudes.
(lire ce texte).
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- Dans Téléciné d'août-septembre 1969 (n°155), il est interrogé sur la télévision et "élève le débat" à sa vision de l'Homme au sens le plus général :
« René Barjavel - procès-verbal » (lire cet article).
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- Dans le magazine des littératures de l'imaginaire Le Miroir du Fantastique de février 1969 (numéro 10 volume 2),
il répond à une interview d'Andréa Turquetit qui annonce déjà L'Enchanteur :« René Barjavel se confie » (lire cet article).
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- Au cœur de l'aventure Apollo, il commente dans
Paris-Match du 22 novembre 1969 (numéro 1072) le vol
d'Apollo XII et ses trois astronautes (Conrad, Gordon et Bean) sous le titre : « Pourquoi ils sont les premiers d'une nouvelle race d'hommes. »
(voir cet article).
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- Dans un autre magazine confrère du précédent, Horizons du Fantastique de l'été 1970 (n°11), il
présente sa vision personnelle du genre science-fiction, ainsi que de sa philosophie :
« La grande erreur des auteurs de S.F., c'est de décrire des êtres non-humains » (voir cette interview).
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- Le mensuel féminin Jardins des modes, qui s'était voulu, dès sa création par Lucien Vogel en 1922, une revue
de luxe ou du moins "haut-de-gamme" et qui couvrait bien d'autres domaines que la seule mode féminine, publia au début des années 1970 une rubrique « Parole d'homme » qui
laissait la plume à une personnalité masculine. René Barjavel y écrivit en octobre 1970 ses réflexions sur les rapports aux facettes parfois contradictoire, en tout cas complémentaires, entre les deux
sexes :« Vivre sans se mordre » (lire cet article).
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- Dans La Revue Indépendante, et présenté en 1972 par son rédacteur en chef Bernard Drupt dans son livre
Ils m'ont dit, Barjavel répond à une série de questions parfois très personnelles, parfois humoristiques,
et fait le point sur ses diverses prises de position, sous le titre : « Je n'ai plus de voiture... je suis redevenu un homme libre. » (lire cet article).
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- À l'occasion de la parution du Grand Secret, le magazine Paris-Match invita René Barjavel à déjeuner en
compagnie de Pierre Laforêt. Repas copieux et gastronomique, dont le journaliste rapporta dans un article de Paris-Match
n°1252 du 5 mai 1973 ce qui semble n'être qu'une sélection de propos, pas forcément très impartiale, sous le titre « Le Grand Secret de Barjavel écrivain de l'an 2000 ». (lire cette interview).
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- Cette année-là, le tchèque Luboš Kohoutek découvrit la comète à laquelle fut donné son nom. La revue ésotériste
HAMSA en fit le thème de son numéro 5 de l'automne 1973, et publia sous le titre “Crise ou agonie du monde moderne ?”
un entretien avec René Barjavel lui donnant l'occasion de s'exprimer sur son roman Ravage en particulier
(lire cet article).
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- Pour Les Nouvelles Littéraires du 3 juin 1974 (n°2436 "Spécial Belgique") et à l'occasion de la parution
du recueil Le Prince blessé, il répond aux questions de Jean-Louis Ezine dans une interview sous le titre
“Au commencement était l'épopée” dans laquelle il réaffirme ses positions vis-à-vis des genres littéraires
et de la science-fiction en particulier (lire cette interview).
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- Article, ou texte ? Dans un élégant livret édité par le grand maître viticulteur bordelais Jean Cordier, propriétaire de très grands crus (Château Talbot,
Ch. Gruau-Larose, Ch. Lafaurie-Peyraguey), et aux côtés d'autres personnalités du monde des Lettres, chacune se consacrant à un domaine et son breuvage,
Barjavel fait l'éloge du Château Clos des Jacobins, quasi religieux...(lire ce texte).
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- La revue Nostra Magazine, “hebdomadaire de l'actualité mystérieuse”,
montrait une tendance - à dire vrai plutôt inoffensive - à un certain sensationnalisme. René Barjavel y est interviewé
dans le numéro 311 de mars 1978 pour donner sa vision du futur de l'Homme, sous le titre : « Le surhomme est
pour demain » (lire cet article).
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- Un court article dans la revue L'Avant-scène théâtre n°629 du 1er mai 1978, dans lequel Barjavel rend hommage
à son ami Jean Le Poulain, qui jouait alors la miève Miam-miam ou le diner d'affaires de Jacques Deval au théâtre Marigny
(lire cet article), en évoquant le projet de film dont était né le roman "Jour de feu".
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- La revue Touring, journal mensuel du Touring Club de France (T.C.F) et “magazine français du tourisme international”,
présentait à ses lecteurs des reportages, suggestions de visites et propositions d'activités organisées par le T.C.F.
Dans le numéro 916 de septembre 1979 René Barjavel fut invité à raconter les expériences de globe-trotter, modestes ou exotiques,
que sa vie lui a donné de connaître
(lire cet article).
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- En octobre 1980, une émission de radio consacrée aux animaux familiers fut suivie d'une interview plus complète pour
le magazine Chiens 2000 où, sous le titre « René Barjavel se fâche », l'auteur fait
partager ses sentiments sur l'amour des chiens, des chats, des choses et des gens...
(lire cet article).
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- À l'occasion d'un séjour à Montpellier, Barjavel fut interviewé par un fan de S.-F., Bernard Saumade, qui fit
diffuser ce reportage sonore sur les ondes d'une station de radio locale (on disait alors "radio libre"...). Le texte en
fut ensuite fourni à la revue Antarès, où il fut publié dans le numéro 14. En 1986, B. Saumade projeta de fonder
un fanzine local, Avallon, organe de l'Association Languedocienne de Science-Fiction (ALSF). En hommage posthume
à l'auteur disparu l'année précédente, cette interview figurait au sommaire du "numéro zéro", prototype d'une revue qui
n'eut pas de suite (lire cet article).
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