René BARJAVEL

Articles et Interviews

 

Homme de communication au sens large, René Barjavel ne refusait pas de rencontrer le public et ses lecteurs. La parution de ses livres lui donnait l'occasion d'accorder des interviews lui permettant ainsi de présenter et commenter son œuvre, ou de manière plus générale de s'exprimer sur différents sujets qui lui tenaient à cœur.
  • Dans Micromégas, “courrier critique et technique du livre moderne”, revue mensuelle éditée par l'Union Latine d'Éditions et dirigée par Maximilien Vox (pseudonyme de l'éditeur-dessinateur Samuel William Monod). Cette revue, qui parut d'octobre 1936 jusqu'en avril 1940 pour reparaître brièvement en juillet 1959, couvrait l'essentiel de l'activité littéraire française comme le feront après la guerre Les Nouvelles Littéraires (où l'on retrouvera un bon nombre de collaborateurs de Micromégas)
    Dès le numéro 1, on y trouve la signature de Barjavel qui publia ainsi des articles de critiques littéraires, comptes-rendus de lecture ou interviews.
(Les dates en gras correspondent aux numéros pour lesquels les articles de Barjavel ont été archivés par G.M.Loup)
NuméroDateTitre - Sujets
110 octobre 1936 P. 4 : Luc Dietrich : présentation de l'homme et de son œuvre accompagnant
l'article de L.Dietrich lui-même : Histoire de mes photographies
210 novembre 1936 P. 7 : rubrique Micromégas parmi les livres, article "Bon a tirer" :
La Sourdine de Marcel Aymé (à propos du livre de M.Aymé : Le Moulin de la Sourdine)

“Ce n'est pas un grand livre, quelques facilités, mais agréable comme un ami”

310 décembre 1936 P. 6 : rubrique Micromégas parmi les hommes
"Cet inconnu, le Prix Nobel... - O'NEILL L'aventureux
410 janvier 1937 P. 12 : rubrique Micromégas et l'invitation au voyage :trois articles critiques d'auteurs :
Joseph Kessel (signé Le Liseur impuni), Cocteau (signé Claude Schnerb)
et Céline (signé René Barjavel)

“J'ai lu deux fois Mort-à-Crédit, d'abord d'une traite, puis j'ai refait le parcours par étapes espacées. Ma troisième lecture dure encore. Elle ne se terminera pas. Ce livre, froissé, est à la portée d'une main qui connait sa place. Je l'ouvre au hasard, en lis quelques pages. Je n'y trouve pas désespoir ou pessimisme, mais la joie, celle qu'on éprouve devant la perfection ; à contempler, par exemple, les détails d'une cathédrale que dressèrent des hommes possédés par la foi, ou la furieuse architecture des montagnes.”

610 mars 1937 P. 6 : Giono notre ami
810 mai 1937 P 10 : rubrique Invitation au voyage : Le Prophète dans la Cité
Résumé, commentaires et réflexions à propos du livre d'un jeune architecte-urbaniste de retour des U.S.A. : Le Corbusier : Quand les cathédrales étaient blanches.
1110 août 1937 P. 3 : accompagnant une interview de Jean de la Varende par Maximilien Vox,
René Barjavel raconte cette rencontre à laquelle il a participé :
« Deux mètres de haut, trois mètres de large... »
1710 février 1938 Pp. 1 et 2 : Quelque part en France,
à propos de la région du Bourbonnais et de ses poètes, connus et moins connus.

La signature de René Barjavel ne se retrouve plus dans Micromégas après août 1937. La revue continue de paraître jusqu'en septembre 1939 où la guerre met fin à ses activités.
D'autres articles ou dossiers spéciaux de cette revue méritent d'être notés :

  • le 10 février 1937 (n°5) : article-interview par René Laporte sur Robert Denoël : « A quoi rêve un éditeur » (avec photo par Henri Manuel)
  • le 10 avril 1939 (n°29) p. 12 : « Micromégas présente Daniel Jacomet contrefacteur par amour de l'art ("l'art du fac-similé") » : Daniel Jacomet sera en 1959 l'éditeur du livre - rarissime - de Barjavel "Collioure-Willy Mucha" comportant vingt-quatre planches fac-similé de dessins au trait de l'artiste (voir).
  • le 10 mai 39 (n°30) un dossier spécial sur Chateaubriand et la Vallée aux Loups (sa résidence au Plessis-Robinson en banlieue sud de Paris). Barjavel habitait à cette époque dans nord de ce qui avait été le parc de la Vallée aux Loups, aménagé en l'une des toutes premières "cités-jardins". On peut se demander s'il ne s'en est pas inspiré pour prendre le pseudonyme de G.M.Loup qui signait ses premiers articles dans Le Merle blanc ?


  • Pendant la guerre, on trouve en 1943 son interview, quelque peu controversée, semble-t-il, surtout par ceux qui ne l'ont pas lue, dans l'hebdomadaire politique « Je Suis partout », à propos de la parution de Ravage chez Denoël en 1942. J'ai présenté ce document dans le cadre de (la page écrit sur Ravage), on pourra en lire { la retranscription }, ainsi qu'une indispensable { analyse détaillée }.
  • Le magazine Panorama, qui se définissait lui-même comme “hebdomadaire européen”, avait commencé à paraître au printemps 1943. René Barjavel y tenait semble-t-il une rubrique sur le cinéma, et j'ai déjà pu retrouver un article du numéro double 60~61 du 27 avril 1944, dans lequel il commente les thèmes qui lui sont alors chers et qui seront détaillés quelques mois après dans Cinéma Total : (Le Théâtre, le Cinéma et le peuple).
  • Dans les années 1960, le magazine Les Nouvelles Littéraires regroupait des personnalités des Arts et des Lettres qui commentaient les différentes facettes de l'actualité culturelle. Des critiques des œuvres de Barjavel y furent publiées, et je les présente dans les pages "écrits" concernées. L'auteur lui-même y écrivait occasionnellement des articles, sous forme d'interviews plus ou moins "authentiques" :
    • Le 11 octobre 1962, il y produisit une (piquante auto-interview) « La science-fiction c'est le nouveau roman » à propos de ce "genre" littéraire avec lequel il venait de renouveler en publiant Colomb de la Lune qui avait obtenu cette année-là le Prix Alphonse Allais.
    • L'exploration spatiale, qui a vu les Américains lancer à l'automne 1962 une sonde vers Vénus, lui inspire, le jour où elle s'en approche, des réflexions sur l'Homme et l'Espace dans « Vénus et les enfants des hommes », de nouveau sous forme d'auto-interview (le 13 décembre 1962) (lire cet article).
    • Le numéro 1930 du 27 août 1964 lui donne l'occasion de présenter son Musée imaginaire, collection des œuvres d'arts qui l'ont le plus marqué, et il convie le lecteur à sa visite guidée et commentée  (lire cet article).
    • Dans le numéro 1951 du 21 janvier 1965, il donne son avis de téléspectateur sur la télévision dont l'essor en France commence à être significatif. Si la forme de l'article semble être une interview, là encore il y a tout lieu de croire que Barjavel en est entièrement l'auteur. On pourra (lire cet article) : « Nounours, Rocambole et De Gaulle vedettes du petit écran », complété de notes explicatives facilitant la compréhension des allusions à des sujets d'actualité maintenant quelque peu oubliés.
    • En 1966 les éditions “Le Livre de poche” lancent une collection “spéciale Jules Verne”, le grand auteur d'anticipation du XIXème siècle ayant été redécouvert par le monde des Lettres quelques années auparavant. Les Nouvelles Littéraires lui consacrent leur numéro 2436 du 24 mars 1966, ouvert, à la Une, par un article de Barjavel rendant hommage à son aîné sous le titre “Sans lui notre siècle serait stupide”(lire cet article).
    • Dans le numéro 2154 du 2 janvier 1969, au lendemain du retour de la première mission lunaire ayant orbité autour de la Lune, il fait part de sa pensée sur la destinée humaine et le soi-disant "pessimisme" qui lui est parfois reproché, dans l'article « Le poisson, l'homme et les étoiles » (lire cet article).

  • Interviewé pour Le Figaro Littéraire du 10 février 1969 (n°1188), alors que La Nuit des temps vient de paraître, il répond au journaliste-écrivain Pierre Fisson (auteur de récits d'aventures modernes, dont Voyage aux horizons (le Prix Renaudot 1948) et Les Princes du tumulte, roman-reportage de trois courses automobiles vécues avec l'écurie Gordini en 1950), qui rappelle sobrement son parcours discret d'homme de lettres quelque peu en dehors du microcosme parisien : « René Barjavel, l'homme qui voyage par tous les temps » (lire cet article).
  • À Lyon, le journalisme Pierre Monier qui était en contact épistolaire amical avec René Barjavel réalisa, par cassette audio interposée, une interview très complète peu après la parution du roman. Elle fut publié dans le magazine L'Hebdo-Lyon des 28 août et 6 septembre 1984 : (lire cette interview).
  • Prenant également comme point de départ la parution de L'Enchanteur, dans France-Soir Magazine du 13 octobre 1984, interviewé par Jacques Prézelin, il présente ce nouveau roman et confie ses émerveillements pour les années à venir, sous le titre : « Barjavel, l'enchanteur/enchanté de l'an 2000 » : (lire cet article)

Dans des revues plus spécialisées, il donne son avis sur des thèmes précis sans pouvoir s'y restreindre, mais en profite au contraire pour rappeler la "philosophie" qui sous-tend toute son œuvre.



  • Dans Le Magazine de France, revue créée après la Libération, il présente à l'occasion d'un numéro spécial (4ème trimestre 1945) sur le cinquantenaire du cinéma sa vision du futur du 7ème art, dans un article qui mêle journalisme et science-fiction... « Le cinéma dans la lune » (lire cet article)
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  • Dans Vérités sur le cinéma français (date non précisée), il profite du même contexte pour faire preuve aussi d'anticipation particulièrement lucide « Le cinéma français dans 20 ans » (lire cet article).
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  • Dans la revue ICARE cahiers de l'aviation, qui réalisait pour son numéro de Noël 1957 un dossier spécial « L'Anticipation », il répondait ainsi que d'autres écrivains à la question :« Voulez-vous la lune  », par un petit texte disant ses espoirs et ses inquiétudes. (lire ce texte).
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  • Dans Téléciné d'août-septembre 1969 (n°155), il est interrogé sur la télévision et "élève le débat" à sa vision de l'Homme au sens le plus général : « René Barjavel - procès-verbal » (lire cet article).
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  • Dans le magazine des littératures de l'imaginaire Le Miroir du Fantastique de février 1969 (numéro 10 volume 2), il répond à une interview d'Andréa Turquetit qui annonce déjà L'Enchanteur :« René Barjavel se confie » (lire cet article).
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  • Au cœur de l'aventure Apollo, il commente dans

    Paris-Match

    du 22 novembre 1969 (numéro 1072) le vol d'Apollo XII et ses trois astronautes (Conrad, Gordon et Bean) sous le titre : « Pourquoi ils sont les premiers d'une nouvelle race d'hommes. » (voir cet article).
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  • Dans un autre magazine confrère du précédent, Horizons du Fantastique de l'été 1970 (n°11), il présente sa vision personnelle du genre science-fiction, ainsi que de sa philosophie : « La grande erreur des auteurs de S.F., c'est de décrire des êtres non-humains » (voir cette interview).
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  • Le mensuel féminin Jardins des modes, qui s'était voulu, dès sa création par Lucien Vogel en 1922, une revue de luxe ou du moins "haut-de-gamme" et qui couvrait bien d'autres domaines que la seule mode féminine, publia au début des années 1970 une rubrique « Parole d'homme » qui laissait la plume à une personnalité masculine. René Barjavel y écrivit en octobre 1970 ses réflexions sur les rapports aux facettes parfois contradictoire, en tout cas complémentaires, entre les deux sexes :« Vivre sans se mordre » (lire cet article).
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  • Dans La Revue Indépendante, et présenté en 1972 par son rédacteur en chef Bernard Drupt dans son livre Ils m'ont dit, Barjavel répond à une série de questions parfois très personnelles, parfois humoristiques, et fait le point sur ses diverses prises de position, sous le titre : « Je n'ai plus de voiture... je suis redevenu un homme libre. » (lire cet article).
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  • À l'occasion de la parution du Grand Secret, le magazine Paris-Match invita René Barjavel à déjeuner en compagnie de Pierre Laforêt. Repas copieux et gastronomique, dont le journaliste rapporta dans un article de Paris-Match n°1252 du 5 mai 1973 ce qui semble n'être qu'une sélection de propos, pas forcément très impartiale, sous le titre   « Le Grand Secret de Barjavel écrivain de l'an 2000 ». (lire cette interview).
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  • Cette année-là, le tchèque Luboš Kohoutek découvrit la comète à laquelle fut donné son nom. La revue ésotériste HAMSA en fit le thème de son numéro 5 de l'automne 1973, et publia sous le titre “Crise ou agonie du monde moderne ?” un entretien avec René Barjavel lui donnant l'occasion de s'exprimer sur son roman Ravage en particulier (lire cet article).
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  • Pour Les Nouvelles Littéraires du 3 juin 1974 (n°2436 "Spécial Belgique") et à l'occasion de la parution du recueil Le Prince blessé, il répond aux questions de Jean-Louis Ezine dans une interview sous le titre “Au commencement était l'épopée” dans laquelle il réaffirme ses positions vis-à-vis des genres littéraires et de la science-fiction en particulier (lire cette interview).
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  • Article, ou texte ? Dans un élégant livret édité par le grand maître viticulteur bordelais Jean Cordier, propriétaire de très grands crus (Château Talbot, Ch. Gruau-Larose, Ch. Lafaurie-Peyraguey), et aux côtés d'autres personnalités du monde des Lettres, chacune se consacrant à un domaine et son breuvage, Barjavel fait l'éloge du Château Clos des Jacobins, quasi religieux...(lire ce texte).
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  • La revue Nostra Magazine, “hebdomadaire de l'actualité mystérieuse”, montrait une tendance - à dire vrai plutôt inoffensive - à un certain sensationnalisme. René Barjavel y est interviewé dans le numéro 311 de mars 1978 pour donner sa vision du futur de l'Homme, sous le titre : « Le surhomme est pour demain » (lire cet article).
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  • Un court article dans la revue L'Avant-scène théâtre n°629 du 1er mai 1978, dans lequel Barjavel rend hommage à son ami Jean Le Poulain, qui jouait alors la miève Miam-miam ou le diner d'affaires de Jacques Deval au théâtre Marigny (lire cet article), en évoquant le projet de film dont était né le roman "Jour de feu".
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  • La revue Touring, journal mensuel du Touring Club de France (T.C.F) et “magazine français du tourisme international”, présentait à ses lecteurs des reportages, suggestions de visites et propositions d'activités organisées par le T.C.F. Dans le numéro 916 de septembre 1979 René Barjavel fut invité à raconter les expériences de globe-trotter, modestes ou exotiques, que sa vie lui a donné de connaître (lire cet article).
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  • En octobre 1980, une émission de radio consacrée aux animaux familiers fut suivie d'une interview plus complète pour le magazine Chiens 2000 où, sous le titre « René Barjavel se fâche », l'auteur fait partager ses sentiments sur l'amour des chiens, des chats, des choses et des gens... (lire cet article).
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  • À l'occasion d'un séjour à Montpellier, Barjavel fut interviewé par un fan de S.-F., Bernard Saumade, qui fit diffuser ce reportage sonore sur les ondes d'une station de radio locale (on disait alors "radio libre"...). Le texte en fut ensuite fourni à la revue Antarès, où il fut publié dans le numéro 14. En 1986, B. Saumade projeta de fonder un fanzine local, Avallon, organe de l'Association Languedocienne de Science-Fiction (ALSF). En hommage posthume à l'auteur disparu l'année précédente, cette interview figurait au sommaire du "numéro zéro", prototype d'une revue qui n'eut pas de suite (lire cet article).
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Lire cette interview Si j'ai regroupé dans la section dossiers les interviews complétant certaines éditions dans des collections “club” (Club Français du Livre et Rombaldi), un autre éditeur suisse des années 1970, La Guilde du Livre (Lausanne) qui a publié sous d'élégantes reliures La Nuit des temps et Le Grand Secret, faisait bénéficier ses souscripteurs d'un bulletin mensuel présentant des mises en valeur des ouvrages introduits au catalogue avec résumé et présentation ou interview de l'auteur.
C'est ainsi qu'au moment de la parution de La Nuit des temps, une interview retranscrite sous le titre « René Barjavel vous parle » donne la parole à l'auteur annoncé par son teckel...
  • On en trouvera (la retranscription), enrichie des photographies de l'auteur qui accompagnaient l'article.

  • J'ai eu aussi la grande chance de retrouver de précieux et rares documents que sont les fanzines de science-fiction du début des années 1970, de fabrication artisanale et maintenant quasiment oubliés :
    • Fin 1959, l'éphémère revue Supernova, éditée par l'association N.O.V.A. dont Barjavel était le président, n'eut semble-t-il qu'un numéro, dans lequel les auteurs - aux côtés de Barjavel, Gérard Klein et Armand de Caro en particulier - mettent en avant l'intérêt qu'ils portent à la science-fiction en déplorant l'absence de reconnaissance par la littérature "officielle".
    • Voir (la présentation de ce fanzine et ces articles)
    Voir ce document
    • Dans Mal d'Aurore, un fanzine réalisé par un passionné des grandes années de la S.-F. française, signant "Noë de l'Arche" (de son vrai nom Noë Gaillard - voir [ http://parcheminstraverses.com/whoswho.php?cat=5&elem=137]), un numéro "spécial Barjavel" publié vers 1970, commence par présenter les romans de Barjavel jusqu'alors publiés, pour laisser la parole à l'auteur qui prend une liberté de ton peu habituelle - par rapport à ses autres articles plus "formels" - pour se confier sur son œuvre ainsi que sa vision de la littérature.
    • On pourra en trouver (la retranscription), agrémentée des dessins au trait originaux par un artiste inconnu.
    Voir ce document
    • DIMENSION 5, autre fanzine champenois édité à Reims et dirigé par Jacques Rouveyrol, consacra son n°6 de mars-avril 1977 à René Barjavel. À côté des deux nouvelles « Les enfants de l'ombre » et « L'Homme fort », une interview de l'auteur apporte douze réponses à dix questions, dont une (n° 8) bien mystérieuse ...
    • On pourra en trouver (la présentation et la transcription).
    Voir ce document



    Bien sûr, ces recherches ne sont pas terminées... le seront-elles un jour ? Je m'attends toujours à découvrir un document oublié, revue, catalogue, magazine atypique... et apprécie tout particulièrement les informations qui peuvent m'être fournies sur ce sujet...