Brigitte Bardot -- p.63 de l'album
Brigitte Bardot -- p.63 de l'album

Immortalisée en compagnie de ses amies les Bêtes dans un album de photos dont les textes sont signés par un autre grand ami des animaux...

René Barjavel


Brigitte Bardot aime les Bêtes, les Bêtes aiment Brigitte Bardot. L'amour qu'elle leur porte est d'une nature essentielle, profonde, qui tient autant de l'instinct vital que du sentiment. Elle et elles s'aiment parce qu'elles sont du même clan. Brigitte Bardot est lionceau, gazelle, et un peu éléphant. Je veux dire qu'elle partage un peu la sagesse minérale de la grande bête intelligente qui juge le monde avec clairvoyance, affection et humour, mais est obligée de s'en tenir écartée, car elle n'a pas les mêmes dimensions. Dans la savane, l'éléphant vit à part. Il est beau, il est fort. On le regarde de loin, on l'admire. On n'y touche pas...


  1. Présentation
  2. Genèse
  3. Extraits
  4. Thématique
  5. Critiques des visiteurs
  6. Copyrights

«Tu as des yeux gentils-ronds comme des boutons, mais je sais que tu as aussi de grandes dents... », p.36 de l'album


Brigitte Bardot a crée en 1986 la fondation qui porte son nom, consacrée à la défense des animaux.
Voir le site de la fondation Bardot.
Dans un recueil intitulé « Chatplume, 60 auteurs parlent de leurs chats », Barjavel est un des auteurs qui prend la plume pour parler de son félidé, Chafou.
CLiquer pour voir ce tete

PRÉSENTATION

Début de la page    Section suivante (Genèse) Première de couverture de l'édition originale

Album de photos couleurs
Textes par René Barjavel
Titre original : « Brigitte Bardot, amie des animaux »
© Éd Fernand Nathan 1976.

(Meilleure vue de la première de couverture)

Ouvre sur une citation du « Petit Prince » de Saint-Exupéry { en savoir plus} :

« On ne connaît que les choses que l'on apprivoise.
Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître
et comme il n'existe point de marchands d'amis,
les hommes n'ont plus d'amis.
Si tu veux un ami, apprivoise-moi!  »

« Mais si tu m'apprivoises, nous aurons besoin
l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde.
Je serai pour toi unique au monde...  »

« Les hommes ont oublié cette vérité, mais tu ne
dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours
de ce que tu as apprivoisé...

« Avant de te dire adieu, je te ferai un cadeau
d'un secret. Il est très simple :

« On ne voit bien qu'avec le coeur,
l'essentiel est invisible pour les yeux. »

68 pages.
78 photos de Miroslav Brozek.
Une photo © Bonnote-Rapho (en double page, pp.16-17).
Deux photos © Dussart-Rapho (p.66 et p.67 bas).


GENÈSE

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Si le livre lui-même nous apprend simplement que :

Les photos ont été prises dans la « Réserve Africaine de Thoiry »,
avec l'accord du Comte de La Panouse et de ses fils.

l'initiative de la réalisation de cet album revient à l'actrice elle-même. C'est en effet à cette période de sa vie qu'elle entreprit de se consacrer à la cause des animaux, après avoir fondé la Fondation qui porte son nom. Un historique plus complet de la réalisation du livre est rapporté dans un article de l'hebdomadaire Paris-Match du 14 janvier 1977 (n° 1442, pp.12-15), sous le titre

Le livre des 3 B : Barjavel, Bardot, Brozek. Un bête-seller

Brigitte Bardot, une actrice, un grand écrivain, René Barjavel, et un jeune sculpteur, Miroslav Bozek, qui se révèle être un photographe de talent, se sont associés pour offrir un cadeau à tous ceux qui aiment les bêtes : l'album Brigitte Bardot amie des animaux (Fernand Nathan).
L'idée de ce livre était venu à Brigitte Bardot au temps ou elle décidait de créer sa Fondation pour la défense de la nature mais les problèmes de paperasserie et les tracasseries administratives l'avaient ensuite obligée à renoncer à son projet. Miroslav, le fiancé de Brigitte, s'est promené avec elle dans la réserve africaine de Thoiry pour rencontrer ses vedettes à quatre pattes. L'intrépidité de Brigitte Bardot a fait trembler même les gardiens mais son charme a joué : le gros éléphant a fait des grâces devant l'objectif et les félins pattes de velours.

    Paris-Match n°1442 - 14 janvier 1977

Plus intéressant encore, l'article continue par le témoignage de Barjavel lui-même :

Brigitte Bardot m'a téléphoné en me demandant d'écrire la préface de ce bouquin. J'ai regardé les photos, je les ai trouvées vraiment très belles. Et j'ai proposé de faire pour chacune un peu plus qu'une légende, un commentaire poétique ou humoristique.
Porté par mon sujet, moi qui travaille très lentement, j'ai tout fini en trois jours. J'ai fait moi-même des milliers de photos, fasciné par les petites bêtes, les insectes sur des fleurs. Pour mon premier album j'irai soit à Nice, soit à Genève, photographier des mouettes en gros plan : en vol, ce sont des oiseaux superbes, extraordinaires.
Ce qui me frappe dans les photos de Brigitte à Thoiry, c'est qu'on sent qu'elle est sur le même plan que les animaux. Ils sont du même clan. Au cinéma, il y a eu trois femmes étonnants : Garbo, Marilyn et Bardot.
Garbo a sombré dans la neurasthénie, Marilyn s'est suicidée tandis que Bardot donne l'image même du bonheur. Et les bêtes sont heureuses parce qu'elles vivent en semi-liberté. Aucun animal ne ressemble à un autre. L'hippopotame avec sa gueule ouverte évoque pour moi l'entrée du métro. Et sous le gros plan du chameau, je n'ai pu m'empêcher de penser au gros cigare que je mettrais dans la bouche qu'il attend.
Oui les animaux sont admirables mais aucune autre femme que Brigitte Bardot n'aurait su poser avec cette grâce. Ce livre n'est pas seulement destiné aux enfants. Je l'ai montré à deux ou trois de mes amies. Elles ont eu une réaction typiquement féminine à l'égard de Brigitte Bardot : séduite et, comment dirais-je ? un peu rétractée, comme si elles avaient peur pour « leur homme ». Un réflexe devant « la rivale ». Mais les hommes, je pense, trouveront que ces images sont des réussites plastiques et des réussites de vie. Les photos n'avaient pas besoin de mes textes. Disons que cela achève le portrait, un peu comme la fleur à la boutonnière du marié.

Article dans Paris-Match - pp 12-13 Article dans Paris-Match - pp 14-15

 

EXTRAITS

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THÉMATIQUE

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C'est le thème des rapports entre homme et bêtes qui est à l'honneur avec cet album. « Jeunes chiens truffés comme des oies de Noël, votre nez est humide, votre poil plus doux qu'une peau... Vous serrer contre moncoeur c'est la fraîcheur d'un bain de l'été », p.10 de l'album On connait l'attachement de Barjavel pour la nature, et personne ne s'étonnera qu'il fût aussi, comme Brigitte Bardot, un ami des animaux.Cela ne revêt pas, pour autant, le même aspect. L'action de Bardot est militante, et bien ciblée.Pour Barjavel, c'est dans le cadre plus grand du panthéisme qu'il faut chercher sa compréhension des rapports homme/bêtes. Les animaux occupent une place, hélas, peu enviable quel que soit le point de vue. Mais la nature de l'oppression est bien différence selon qui de Barjavel ou Bardot se lève pour la décrier. Pour cette dernière, c'est contre l'homme, qu'il faut défendre les bêtes. Cela se traduira, tout au long de la vie de l'actrice, par des pétititions, des marches, des actions médiatiques, contre le traitement des animaux en batterie, par exemple, ou de moins appréciées condamnations de coutumes étrangères où les animaux sont égorgés, ou plus récemment à l'encontre des laboratoires de vivisection où les animaux sont objets d'expérimentations à des fins aussi futiles que la cosmétique. Pour Barjavel, le problème est ailleurs. Certes, l'auteur prend conscience du traitement sans aménité de l'homme pour l'animal. Il écrit d'ailleurs en conclusion du présent livre :

Les bêtes sont innocentes, même lorsqu'elles sont féroces. Les tuer sans nécessité absolue est misérable et stupide. Les faire souffrir est monstrueux. Les aimer et les protéger, c'est préserver le coeur de la vie.

Mais tout le problème est-il là ?La dernière phrase de la citation, à laquelle succède un remerciement pour Brigitte Bardot qui termine l'ouvrage, nous laisse deviner le point de rupture. Barjavel, pour qui notre attitude envers les animaux relève du fondamental, d'une essence de vie, de la vie, du coeur de la vie, nous rappelle ainsi à « la Faim du tigre », et sans surprise, à des considérations plus métaphysiques. Invoquant en tout début de texte Brigitte-Ève, il résiste mal à la tentation de placer le problème sur le plan spirituel.

Le loup et l'agneau sont nos frères vivants. En eux nous massacrons de nouveau, chaque jour, Abel.

Certes le cadre s'y prête peu, et la vedette étant la grâce féminine mêlée à celle tendre et innocente des bêtes, Barjavel consent à admettre sans colère le fonctionnement de la vie : tuer pour vivre une vie à consommer:

L'herbe est faite pour s'y rouler, le soleil et le lait pour être bus. La vie, aussi.
La gazelle est légèreté et grâce. Elle sait fuir très vite, pour sauver son existence, ou sa liberté...

Le passage est imagé et contenu. On devine un auteur fuyant les visions de l'herbe où s'y roulent non par jeu quelque innocent animal, mais une gazelle aux flancs déchirés par les griffes acérées d'un fauve la fauchant en plein vol. La liberté qu'elle veut sauver permet peut-être d'escamoter l'existence qui la précède et dont la perte se traduit par celle fatale de la vie. Si le loup et l'agneau sont nos frêres vivants, ils sont aussi ennemis mortels. Et l'on sait que pour Barjavel, l'homme n'est pas seul coupable de la mort d'Abel. Dans la Faim du tigre, ne clame-t-il pas :

La mort de Dieu ne rachète pas celle de l'agneau.

Fuir la réalité en l'évitant comme ici ou en la couchant sur papier plus terrifiante qu'elle n'est pour le commun des hommes ne fût pas le seul échappatoire de l'auteur, qui dans ce domaine a également eu recours à la Science-Fiction. Ainsi, dans une Rose au paradis, les animaux endormis dans l'arche coexistent les uns avec les autres, la biche assoupie entre les pattes du lion. On retrouve cette existence fraternelle entre espèces dans l'abri dans le Grand Secret.
L'auteur ne pouvant abuser de ces ressources - on le surprendra néanmoins affirmer que les éléphants n'écraseraient pas une patte de mouche sans sa permission - reste sur un compromis entre amour du tout et lutte entre espèces, affirmant qu'il y a des créatures qu'il vaut mieux aimer de loin, et passe à ses autres thèmes favoris. L'universalité n'y pouvait échapper.

Tête brune, tête blonde, il n'y a pas tant de différence qu'on le croit : l'une et l'autre sont des miracles, comme le papillon, la marguerite et le rossignol. Depuis trois milliards d'années, la vie patiemment prépare, invente, assemble des merveilles, pour construire Brigitte et le petit chevreau

On y trouve encore quelques fantaisies de métamorphoses, et des métaphores où se confondent nature et urbanisme. Les éléphants sont des maisons vivantes, l'hippopotame une rame de métro, le chat écoute la radio avec ses moustaches. Les rhinocéros changeraient bien leur cornes pour une queue frontale, pratique pour chasser les mouches, et n'ont même pas, pour le change, le loisir de jouer au bilboquet.
Ce ton joueur et enfantin qui parcours le texte est peut-être à son apogée lorsque vient le tour des girafes.

Avec leur robe-puzzle on a envie de défaire les morceaux et de les mélanger pour les reconstituer. Mais si vous vous approchez, une d'elles se penche et d'un seul coup de langue vous débarbouille les joues et le menton. Si vous êtes barbu, peut-être elle vous broute...

Thème fugace, mais sans surprise, celui de l'enfance. L'anthropomorphisme présent tout au long de l'ouvrage trouve dans le cas du chevreau, qui avec le temps deviendra vieux bouc, l'occasion de déplorer avec la perte de l'enfance celle de la candeur et la naïveté qui l'accompagnent.

Son père était aussi charmant que lui avant que la barbe lui pousse et qu'il se soit fait teindre en roux. Il a commencé à changer à partir de son service militaire. Il a eu de mauvaises fréquentations et il s'est mis à sortir avec n'importe quelles filles...

Et de trouver ici encore l'occasion de regretter

Ah ces garçons, comme on voudrait qu'ils ne grandissent jamais!...


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  • Brigitte Bardot, je l'adore. J'ai 25 ans et elle est un modèle pour moi. Sa beauté,sa générosité, son courage, sa détermination, sa sensibilité font d'elle la femme par excellence. Son combat pour les animaux est absolument primordial : punir ceux qui font souffrir les animaux, c'est aussi se prémunir du danger qu'ils peuvent constituer pour les humains et c'est aussi garder un peu d'humanité pour tout ce qui est vivant et tout ce qui nous entoure.Je rève de la rencontrer, j'espère que mon rêve se réalisera un jour.
    Amicalement.

    20 décembre 2001

  • Comment parler de Brigitte en quelques lignes ? Je l'aime et la suit depuis de longues années. Je fais partie de sa fondation, je suis en plus délégué. J'aime les animaux autant qu'elle. J'ai perdu un berger allemand. J'ai cru mourir lors de son départ si je n'avais pas écris son histoire. Une suite va paraître prochainement. Un vibrant hommage à Brigitte y figure. Mon seul regret c'est de ne pas l'avoir encore rencontrée. Et que les pouvoirs publics ne lui donne pas la place qu'elle mérite. En lui attribuant les victoires animales.

    21 décembre 2001
     

  • J'aimerai dire à Brigitte Bardot ceci :
    « Chère Brigitte Bardot
    J'admire ce que vous faites et j'aimerais proteger comme vous les animaux car je les adore. Chaque mois je vous envoie des fonds (à votre fondation) en espèrant que cela servira à quelque chose. Je ne sais pas comment vous remercier de protéger ce que j'aime le plus au monde, "les animaux". »

    Pauline F., 14 ans, Marseille, 18 janvier 2002
     

  • Brigitte j'ai eu le plaisir et l'honneur de la rencontrer à plusieurs reprises. Elle a toujours eut quelques instants à me consacrer. J'ai fait plusieurs manifestations à ses côtés ainsi qu'un très bon ami en commun Christian Zuber.
    Je dois dire que c'est une femme qui sait écouter, quelqu'un qui les a bien accroché(e ?)s  par rapport à certains hommes qui se disent homme ( je rigole !) et qui ont le trouillomètre à zéro quand il s'agit de se mettre en avant.
    Brigitte elle, elle le fait, se met constamment en avant, (elle) plie parfois devant la cruauté des hommes mais comme une branche solide se redresse et crie haut et fort sa colère envers ceux qui massacrent nos amis : les animaux, tous les animaux.
    C'est quelqu'un pour qui j'ai le plus profond respect, c'est une femme que j'aime pour ce qu'elle est.

    Bruno R., le 28 janvier 2002
     

  • Je m'appelle Melanie et je voudrais dire au monde entier que j'admire Brigitte pour tout les animaux qu'elle peut protéger et sauver ; depuis ma tendre enfance je lutte contre ce massacre des animaux, je ne peux plus vivre tranquille sans penser une seconde à toutes ces horreurs, je n'en dors plus la nuit et j'en pleure je n'arrive pas a vivre ds ce monde où les humains ne sont que laches et mauvais .....
    Je ne suis pas une personne bien riche mais j'aimerais savoir où je peux envoyer des dons pour Brigitte pour pouvoir continuer la lutte avec elle et si possible un jour la rencontrer.
    À bientôt souhaitant une réponse.

    Melanie Favero à Chambery, le 14 juin 2002 (biquette60@caramail.com)

    (Réponse : contacter la Fondation Brigitte Bardot tel qu'indiqué plus haut (http://www.fondationbrigittebardot.fr)
     

  • Je n'ai jamais admiré spécialement Mme Bardot bien que je ne critique pas non plus ce qu'elle fait, je suis végétarienne depuis l'âge de 6 ans et j'en ai 52 ; tout cela par respect de la vie, car je considère que la vie d'un animal vaut bien celle d'un humain
    J'ai deux enfants à qui j'ai appris à aimer et respecter les animaux et à faire comme moi, en sauver le maximun. Personellement bien que Mme Bardot fasse beaucoup de choses je trouve qu'elle ne se bat pas assez, et qu'elle est entouré d'un personel pas toujours très efficace. J'ai eu besoin de la fondation Bardot en 1992 pour une EUTHANASIE d'une chienne boxer, je n'ai jamais eu de réponse à mes courriers même en recommandé ; mes appels téléphoniques ont été sans succès. Il n'y a que Dechavane et Patrick Carmous (30 millions d'amis), la LAF DAM pour qui par la suite j'ai été enquêtrice et le journal Ouest-France qui m'ont aidée ; a faire en sorte que les vétérinaires n'EUTHANASIENT plus les animaux sur l'ordre de leurs propriétaires. J'espère que depuis il y a eu des bénévoles qui ont adhéré a la Fondation, car la sincérité d'une action ne se fait que dans le bénévolat. En ce moment j'ai chez moi un chien accidenté en famille d'accueil pour la Fondation Bardot, car pour moi, même si je n'ai pas eu satisfaction en 1992 je ne laisserai jamais un animal en péril, quelque soit l'association qui me demande de l'aide.

    Edwige Le Dû, Ploufragan - le 10 août 2002


  • COPYRIGHTS

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    • Le texte et les photos de « Brigitte Bardot, amie des animaux » sont © 1976 éd Fernand Nathan.
    • La photo en noir et blanc de Chafou dans l'onglet « Plus à explorer » est de Luc et Lala Joubert, extraite du dossier de La Tempête - Édition Cercle du Nouveau Livre - Le Tallandier.
    • Tout ce qui n'entre pas dans le cadre des copyrights précédents est © G.M. Loup.