La Nuit des temps,
source d'inspiration...

Depuis la parution du roman en 1968, la Nuit des temps a stimulé l'imagination et la créativité d'artistes de sensibilités et de qualifications variées. Le premier à embrayer sur le scénario original est l'auteur lui même, puisque, comme l'on sait, il a fait de ce projet pour le cinéma un de ses plus grands romans.

Cependant, aucune réalisation ne s'est encore concrétisée jusqu'à atteindre la connaissance du grand public. Retrouver la trace de tous ces projets, voire parfois de leurs maquettes, est une exploration passionnante dans un monde où s'entremêlent les ambitions coup-de-coeur et les projets professionnels s'inscrivant dans la durée. Il faut faire la part des "élucubrations", des "voeux pieux", et des "vrais" travaux. Reconnaissons cependant à chacun le mérite d'avoir voulu donner une extension ou un visage nouveau à une oeuvre qui semble être sans suite ni double possible.

Écrits

Personne ne s'est hasardé à écrire une "autre version" de la Nuit des temps... ni même ce qui en serait une suite. Peut-il y en avoir une, d'ailleurs ? Toutefois, les nombreux thèmes de l'oeuvre en font un sujet scolaire de choix, et j'ai trouvé ce sujet de rédaction traité dans une classe de troisième d'un lycée français de Madrid, qui m'a paru fort intéressante : [ voir la page ] (cette page ayant à présent "disparu" du site qui l'héberge, on pourra en voir (une sauvegarde ici))

Projets cinématographiques

Le roman ne devait servir qu'à préparer le film initié par Cayatte, après un premier abandon. Mais il ne sera pas non plus tourné par la suite. Cette promesse suspendue sera tenue, se tiennent pour dit des producteurs amateurs ou en passe de l'être, qui me contactent régulièrement pour savoir comment acquérir les droits d'auteur. Je pense par exemple à cette demoiselle de dix-sept ans qui m'assure que le projet est en bonne voie, ne serait-ce pour la difficulté de commencer: "je le promets, mon premier film sera « La Nuit des temps», comment puis-je faire ?..." Il importe de savoir que, depuis la parution du roman, une option sur les droits d'adaptation cinématographique avaient été prise par le groupe Hachette, pour un montant qu'on ne peut imaginer qu'important. Toutefois, cette option est échue, et les droits, co-détenus par René Barjavel et André Cayatte, sont toujours détenus par le cabinet juridique en charge de la succession de l'écrivain, Maître Rolland-Valmy.

Les rumeurs vont aussi bon train quant à des réalisations par des professionnels. Épisodiquement, des forums de discussion tels que news:fr.rec.art.sf se font écho de telles annonces. Certains même parlent d'une possible réalisation à grand budget par un maître du genre : Steven Spielberg. À ce jour cependant, rien de concret ne laisse présager d'une imminente arrivée d'Éléa et Simon sur les toiles.
On verra plus loin dans la présente page que l'idée elle-même est sujette à controverse.
En octobre 2004, Ludovic Celle, un jeune ami du barjaweb, que cette idée de film inspire depuis plusieurs années, m'a soumis une proposition d'affiche - ce qui constitue un premier pas ! avec une distribution de charme confiant le rôle d'Éléa à Charlize Theron.
[ on pourra voir quelques sites qui lui sont consacrés : http://www.charlizetheron.com/ (site officiel), http://www.chez.com/charlize/, et http://charlizeonline.com/ ]
Lors d'une relecture de La Nuit des Temps il avait eu envie de l'illustrer sous tous ses aspects (personnages, décors, véhicules, technologie...), et pris soigneusement notes précises sur les aspects techniques du roman, et représenté sur trois dessins au crayon à papier, qui peuvent donner une idée de ce que pourrait être les décors d'une telle aventure.
Plus encore, il a élaboré un dossier complet qui présente avec force détails sa vision de ce que pourrait être un tel film, et que l'on pourra voir ici

Une curieuse réminiscence de La Nuit des temps, trop flagrante pour être fortuite mais néanmoins nullement référencée comme telle, apparaît dans un épisode de la série de science-fiction de R.D. Anderson Stargate SG-1 (saison 6, épisode 4), « Prisonnière des glaces », dans lequel l'action commence très précisément au Pôle Sud. On y assiste à la découverte d'une femme gisant dans un bloc de glace depuis des milliers d'années, qui est réanimée mais décède juste après d'un mystérieux virus, lui aussi antédiluvien. Curieusement le récit n'en parle plus du tout ensuite...

Image de SG-1 - saison 6 - épisode 4 Cliquer pour voir la femme congelée

Projets musicaux

Le budget pour le cinéma constituant la véritable difficulté, une adaptation plus symbolique du style théâtral aurait pu tenter des producteurs. C'est par une comédie musicale que le projet va se concrétiser en 1970, avec la collaboration de Barjavel et de Cayatte.

sur HAIR

un historique de la comédie musicale de Broadway
des images à Broadway
le livret anglais
une Foire Aux Questions
le film de M.Forman en 1980
la seconde version remontée en 1998 et
cette autre page

Tout était prêt. La troupe se constituait de la plupart des artistes de la "Tribu" de la comédie musicale "hippie" HAIR, au théatre de la Porte Saint Martin où le montage était prévu. La musique fût l'oeuvre de Pierre Chiffre. Les paroles ont été écrites par Annie Nobel, dont le compagnon d'alors, Philippe Richeux - encore connu pour être le successeur de Gérard Palaprat dans la distribution de HAIR - était pressenti pour le rôle de Païkan. Le rôle de Simon devait être attribué à Gregory Ken (qui chantera plus tard "Six heures du mat', j'ai des frissons..." dans le groupe "Chagrin d'Amour")
Treize chansons furent ainsi "maquettées" alors en studio, mais le projet fut abandonné car la "comédie musicale" perdit la faveur du public et donc des producteurs. Quatre chansons supplémentaires furent toutefois finalisées portant à dix-sept le nombre des chansons enregistrées et déposées à la SACEM, la pièce complète en prévoyant vingt-quatre.
Annie Nobel cependant m'a confié ses divergences de vue avec Barjavel sur la fin de la Nuit des temps. Sa comédie musicale prévoyait une fin bien différente, sans doute plus optimiste { en savoir plus }. Elle n'a jamais perdu l'espoir de voir ce projet se réaliser et espère bien le voir prochainement aboutir, jouissant du retour à la mode du genre, et d'auspices plus favorables en ce début de nouveau siècle. Pour en savoir plus, le site très complet d'Annie Nobel comporte une section (spectacles) qui présente en détail ce projet, ses sources, sa conception et des extraits [ voir son site très complet ]

J'eus la surprise d'apprendre qu'en avril 2001, une école de Namur en Belgique avait effectivement monté « La Nuit des temps » en comédie musicale. Cette réalisation est totalement indépendante de celle d'Annie Nobel et se cantonne dans une approche plus restreinte à l'intrigue sentimentale. Mais laissons s'exprimer le responsable du projet, Didier Wrincq :

Après avoir monté en 2000, Hernani de Victor Hugo en comédie musicale, trois professeurs de français ont émis l'idée de recommencer l'expérience sur La Nuit des Temps de René Barjavel. Un de ces professeurs a découpé le roman et écrit 37 chansons. Trois mucsiciens amateurs ont composés les musiques de ces chansons. Le projet a débuté voilà un an. La mise en scène et la chorégraphie ont été confié à deux enseignants. C'est ainsi que les 20, 21 et 22 avril 2001 nous avons pu faire découvrir notre projet. Après ces représentations devant un nombreux public (3x400 places), les critiques de la presse locale ne furent que positives. C'est pourquoi, nous avons décidé de rejouer ce spectacle les 29 et 30 juin.

{ voir l'affiche du spectacle }

Depuis, cette "troupe" a eu l'occasion de présenter des chansons extraites du spectacle lors des Journées Barjavel se déroulant à Nyons fin août, en 2002 et en 2003... (voir la présentation de la Journée Barjavel 2002)

On pourra aussi voir { le texte de présentation du spectacle }

Projets graphiques

Au début des années 80, le dessinateur Gauckler, auteur de bandes dessinées et d'illustrations de couvertures de la collection "Présence du Futur", a nourri le projet de réaliser « La Nuit des temps » en bulles. Là non plus, le projet n'aboutit pas. Les oeuvres de Gauckler sont maintenant assez peu connues. On verra { ici } une page d'une de ses créations, « Convoi » dont la finesse graphique et les perspectives font effectivement penser que son style aurait été très approprié pour créer l'atmosphère toute particulière de « La Nuit des temps ». On peut toutefois lui reprocher un abus des dominantes - changeant de planche en planche, peut être "dans le goût de l'époque", mais maintenant moins apprécié. voir une présentation ]

En revanche, il est intéressant de noter la reprise des thèmes caractéristiques de « La Nuit des temps » dans une série en cinq albums de Didier Convard, « Chats » (Éd.Glénat, 1993, puis Dargaud, 1995) voir une présentation ].
L'histoire est celle de la Terre quelques centaines d'années après qu'un conflit nucléaire ait entrainé la mise en ruine des villes, et la dégénérescence du genre humain ramené à l'état de créatures rampantes à moitié aquatiques. Mais sont promus à une évolution stupéfiante, tant en intelligence qu'en sagesse, les chats ainsi que leurs ennemis, les loups. Moins en ce qui concerne ces derniers pour ce qui est de l'intelligence, et pas du tout en sagesse. Lors de l'exploration des ruines de Paris, les chats sont amenés à retrouver d'anciennes "machines" dont la finalité se révèle être le maintien en survie dans un "Aqua-bloc" d'une femme ainsi conservée par un savant prévoyant, le professeur Kolinski. La femme, Ève, sera réveillée par les chats (dans le deuxième volume), et l'homme, le professeur Kolinski lui-même, conservé séparément, n'aura pas supporté la durée, et c'est son cadavre qu'Ève et ses amis les chats découvriront. Mais l'espoir pour l'humanité n'est pas perdu... Je ne peux que recommander la lecture de cette série dont les qualités graphiques et les touches d'humour du scénario et des dialogues n'auraient certainement pas déplu à notre auteur.
Eve dans l'Aqua-bloc

Début mai 2002 je fus contacté par une charmante dessinatrice incitée par son enthousiasme pour la Nuit des temps et ses personnages à réaliser et offrir au barjaweb sa vision du couple éternel :

Je voudrais offrir au barjaweb un dessin inspiré bien sûr par La Nuit des temps, roman que je place au sommet de mes préférences, et au fond de mon coeur pour toujours.
Éléa et Païkan... il n'y a pas de mot.... ce sont des anges. J'ai vraiment ressenti en lisant ce livre, ce que jamais je n'avais ressenti.... Souvent dans les livres les sentiments restent pales et passifs, mais cette fois, la colère, la peur, la tendresse, la tristesse étaient réelles. Je courais avec eux lors de leur fuite, j'aurais voulu rentré dans l'histoire et leur ouvrir ma porte pour les sauver ! Et j'ai eu la gorge serrée lors de la fameuse scene finale : la transfusion... c'est éblouissant.
Depuis Éléa et Païkan c'est énorme pour moi. Si je choisissais un symbole pour nos sociétés ce serait eux .... à la fois des dieux et des étendards....
Bon j'arrête, mais c'est qu'à chaque fois, j'en parlerais des heures :-)
Donc voilà, tout ça pour vous offrir une humble illustration.

Pour en savoir plus sur Thémis, on pourra [ voir son site ]

Une artiste-peintre amateur de talent, Dominique Galan, s'est sentie enthousiasmée et inspirée après avoir lu le roman et réalisa sa "vision" du portrait d'Éléa, qu'elle me fit fort aimablement parvenir. Interrogée sur la raison de la dominante bleue, des cheveux en particulier (alors que l'on sait que, dans le roman, Éléa est... peut-être châtain clair), elle me fit savoir :
C'est un peu un hasard puisque je suis partie sur un portrait de femme fictive, et c'est ma fille qui le découvrant, m'a dit "mais c'est Éléa" ; en prenant du recul, j'ai dit oui, c'est peut-être elle, je venais de lire le roman, ma fille aussi et j'ai trouvé que c'était une bonne idée pour donner un titre à cette toile. Avec le temps je suis convaincue que l'impression que ma fille a eu lorsqu'elle a reconnu Éléa, prend justement origine dans le bleu qui domine et qui évoque la nuit ....des temps. Le visage du portrait, le sourire me semblent bien évoquer évoquer la pureté de ce Personnage qu'est ÉLÉA.

Arts plastiques

Lors de la Journée Barjavel 2002 organisée par la ville de Nyons, j'ai eu l'occasion de rencontrer une jeune artiste aux talents multiples qui m'a confié avoir été inspirée, suite à la lecture de La Nuit des temps, par une vision du couple Éléa et Païkan qu'elle a réalisé en sculpture (terre cuite patinée) ; ses oeuvres étaient alors exposées dans une galrie de la ville, mais, enthousiasmé, je me sui enquéri pour en faire l'acquisition, un tel témoignage trouvant tout naturellement sa place ici. Le voici (cliquer sur l'image pour des vues agrandies) :

	Dédicace sous le socle
Éléa et Païkan vus par Carine F.

Jeux vidéo

Lors de mes recherches, j'ai pu prendre connaissance d'un projet de jeu vidéo sur le thème de « L'Énergie Universelle », si cher à Bajavel. Le jeu se présente comme une suite à « La Nuit des temps », avec pour slogan: "Zoran, le jeu...la Nuit des temps n'était que le commencement". Les auteurs de ce projet, S. Cinguino, A. Magnier et R. Lelong, alors étudiants, l'ont abandonné, rapportant un problème technique dont n'aura survécu qu'une vitrine, qui révèle toutefois des qualités graphiques incontestables. voir le site de l'équipe ]
Présentation du projet Zoran

cliquer pour accéder au site
Dans ce domaine, l'inspiration la plus avancée est celle de gondawa.com ], dont l'auteur propose un jeu de réalité virtuelle en trois dimensions directement inspiré du monde de « La Nuit des temps ». Il est d'ailleurs étonnant de retrouver là le concept exact qui est celui de la bande dessinée de Gauckler « Convoi » évoquée précédement.

Tous ces projets posent la grande question : est il souhaitable de "réaliser" l'histoire de « La Nuit des temps » ? Et d'en imaginer une suite ? Si cette idée ne vous laisse pas indifférent, je vous invite à donner votre avis sur ces projets ci-dessous.

Donnez votre avis

Vous aussi, dites ce que vous inspire l'idée de voir adaptée, sous une forme ou une autre, le roman « La Nuit des temps ».

Avis des visiteurs

Eléa

Parmi les réalisations les plus personnelles qui soient, il en est une dans laquelle l'être humain met le plus de son idéal, c'est le nom qu'il donne à son enfant.
Le prénom Eléa a inspiré de nombreux parents depuis la sortie du roman, et mes recherches ainsi que des témoignages de visiteurs du barjaweb m'ont permis d'en savoir plus.
Mais ce prénom existe-t-il vraiment ?
Certains parents ont en effet rencontré quelques difficultés auprès de l'État Civil lors de la déclaration de naissance de leur fille qu'ils désiraient prénommer ainsi, et on dû justifier de précédents.
Citons la revue Enfants Magazine dont le numéro 165 de mai 1990 nous informe : « Eléa a été accepté le 2 décembre 1988 à Paris dans le 12e arrondissement après consultation du procureur de la République. Ce nom pourrait être d'origine grecque, ou celui d'une ancienne ville de Lucanie (Italie du sud) ou bien un nom commun signifiant petit oiseau des marais ou olive/olivier (eleia en grec) ce qui correspondrait alors à Olivia. Eléa est en effet le nom de la ville d'Italie du sud (en français Élée), patrie des philosophes présocratiques Zénon et Parménides ; c'est maintenant une station balnéaire voir son site ]

Annie Nobel, dont j'ai parlé plus haut, m'a confirmé que c'est bien là qu'il faut trouver l'inspiration de l'auteur... Avec un clin d'oeil astrologique, car

dans la géographie sacrée du monde grec, Elée était située dans le Verseau, avec Pégase pour emblème. Et que Barjavel et Cayatte étaient tous les deux Verseau.

En ajoutant, que, comme l'indique un dictionnaire,

patrie de ZENON et de PARMENIDE, deux philosophes qui professaient que l'ETRE était un absolu éternel....

Pour les Anglo-Saxons, Elea est simplement le diminutif du prénom Eleanor (comme Eleanor Rigby des Beatles), prénom assez courant. (On trouvera sur le site de www.kabalarians.com ] une analyse - en anglais - de ce prénom).
Moins courante en est la forme française Eléonor, ou plus ancien, Aliénor. Rapporté à cette origine, il se fête le 25 juin. (Voir à ce propos un site consacré aux fêtes à souhaiter ])

N'oublions donc pas le 25 juin de fêter les petites et les grandes Eléa, car, comme l'indique le site www.prenoms.com ], il s'en trouve de relativement âgées (sans toutefois atteindre 900000 ans...), bien que l'année 2000 en ait vu une recrudescence spectaculaire { voir la statistique }.

Citée plus haut, la revue Enfants Magazine nous apprend en particulier qu'Eléa est le prénom de la fille du chanteur Herbert Léonard. - ce qui provoquera sans doute un déclic dans l'esprit des grands connaisseurs de Barjavel...
Le chanteur Philippe Richeux évoqué précédement à propos de la comédie musicale, a aussi prénommé sa fille Eléa.

Eléa a aussi été pris comme nom "public" d'artistes, ou "commercial" de sociétés : ainsi :

la chanteuse Elea Tenuta du groupe pop "Heavy Vegetable" (1992-1995) [ voir un site ] et [ un autre site ], avec Rob Crow, qui reforma avec elle un nouveau groupe "Thingy" [ voir leur site ] et [ un autre site ]
Elea Plotkin est aussi une chanteuse dont la musique est un mélange de rock, pop, blues et country : voir [ son site ] qui présente ses deux albums : "Behind the Eyes" (1998) et "Little Rockets" (2001)
Elea Goa, chanteuse du groupe français E.L.E.A (de style "electro-pop"), basé à Montpellier. Sur [ son site], où il prend la devise acronymique de "Energy of Love for Elevation of Aura", il se définit comme :
« Parti pour un voyage expérimental dans la galaxie des musiques nouvelles, le duo électro-psychédélique ELEA se pose sur diverses planètes aux inspirations variées, créant une alchimie de sonorités électroniques et de couleurs ethniques. »
Se produisant surtout en tournées,
« le duo a enrichi son style pour donner naissance à de très belles compositions, ayant pour dénominateur commun le son des machines de Swann et la voix envoûtante d’Elea Goa. »
Une discographie encourageante (2 CD et quelques vinyls) incitera les amateurs de musique planante mais rythmée à les découvrir. (voir aussi le site de musique en ligne : [ http://stage.vitaminic.com/main/elea/ ]
une artiste peintre d'inspiration celtique et fantastique, que l'on pourrait imaginer nous faire rêver sur « L'Enchanteur » ou « Les Dames à la Licorne » { voir ! }. (bien que l'ambiance créée par son style soit un peu "sombre"),
la société de services de cartes à puces Elea cardware citée dans la page principale (mais qui semble bien avoir "disparu" depuis),
et une société allemande distribuant des produits naturels...

Le nom a aussi été donné à quelques créations ou même découvertes :

un fossile du genre Bryozoaire (Elea lamellosa) découvert et classifié par le paléontologue du XVIIIème siècle Alcides d'Orbigny en 1850.,
dès 1969, une chanson de l'américain Keith dans son album 33 tr "The Adventures of Keith" : Elea-Elea : voir [ un site de fans ]
le personnage d'un jeu de rôle interactif Elea of Castle Marrach ] lui aussi d'inspiration fantastico-celtique,
et plus près de nous, une chanson de Pascal Obispo ], peut-être inspirée par le roman, et que l'on est en droit d'aimer ou pas mais qui a un grand succès...
Elea est aussi le titre d'un morceau du groupe de rock progressif moderne Arena, dont l'album The Visitor (1998) contient aussi curieusement ce qui peut passer pour des allusions Barjavelliennes (Monde sous la glace, etc).
Quelques liens sur Arena et cet album :
- [ http://membres.lycos.fr/jclb/arena.htm ] (en français)
- [ http://www.progressiveworld.net/arena2.html ]
- [ http://www.verglas.com/ArenaWorld/avisitor.html ]
- [ http://www.geocities.com/keysign/reviews/recent/arena.htm ]

Vos avis, vos témoignages

Par l'intermédiaire du barjaweb, donnez vous aussi votre avis sur le prénom Eléa.

COPYRIGHTS

L'illustration présentant le jeu "Zoran" est réalisée par l'équipe ayant créé le jeu.
Les oeuvres citées et présentées conservent le copyright de leurs auteurs ou de leurs éditeurs.

( Revenir en haut de la page )

La Nuit des temps,source d'inspiration...